5 bonnes raisons d’adhérer !
Un syndicat SOLIDAIRES
Discriminations, précarité, droits des femmes, sans-papiers, écologie, solidarité internationale, retraite, services publics, etc., toutes nos luttes doivent converger, dans le public et le privé. L’Union syndicale Solidaires y contribue activement. Elle regroupe les syndicats SUD et avec plus de 100 000 adhérent-e-s, dont un tiers dans le secteur privé, elle est aujourd’hui un acteur majeur du champ syndical hexagonal. Partout, la solidarité doit l’emporter sur la recherche du profit et les logiques financières et comptables.
Un syndicat unitaire et intercatégoriel
Par ce que c’est faire le jeu des pouvoirs que de diviser les personnels et d’éparpiller les revendications, nous sommes un syndicat résolument intercatégoriel : parce que nos intérêts sont les mêmes, nous construisons un seul et même outil syndical pour tous les personnels, tous métiers confondus, de la maternelle à l’université, sans condition de statut, de corps ou de grade. Lorsque c’est utile pour l’action, SUD prône l’unité avec les autres organisations syndicales, tout en exprimant ses propres orientations pour faire vivre le débat démocratique.
Un syndicat démocratique
Tous les mois, nos assemblées générales d’adhérent-e-s décident de l’orientation et de l’action du syndicat. Les collègues qui, pour une durée limitée, ont des heures de décharge syndicale, travaillent toujours au moins à mi-temps, dans toute la fédération SUD éducation. Avec SUD, pas de bureaucratie, vos élu-e-s et vos représentant-e-s partagent votre quotidien professionnel. Nous défendons l’auto-organisation des luttes, et mettons nos moyens au service de l’action directe des premier-e-s concerné-e-s : les salarié-e-s.
Un syndicat de lutte
SUD refuse le clientélisme et la cogestion. Nous refusons de cautionner les régressions en négociant à la marge sur nos conditions de travail ou sur le service public d’éducation. Indépendant-e-s face à l’administration, intransigeant-e-s face à l’arbitraire, nos élu-e-s académiques défendent sans concessions les intérêts des personnels dans les instances. Mais les élections, professionnelles ou autres, ne suffiront pas à obtenir les changements radicaux dont nous avons besoin. Un « vrai changement » passe, en particulier, par un mouvement social massif et populaire qui affronte le gouvernement.
Un syndicat de transformation sociale
SUD lutte pour les revendications immédiates des personnels : salaires, conditions de travail, protection sociale, etc. Mais aussi pour une rupture avec ce système capitaliste qui vit de l’inégalité et de la précarité : nous sommes à la fois pour une autre école et pour une autre société. Pour être efficace, notre syndicalisme ne s’arrête donc pas à la porte des lieux de travail.